Des citoyens inquiets réclament une intervention de Greenpeace

Wer­ner Alt­ni­ckel, qui a été acti­vis­te de Green­peace pen­dant de longues années, et des citoy­ens très inquiets de l’initiative « Pour un ciel pro­pre » (www.sauberer-himmel.de) ont aujourd’hui pro­tes­tés devant le siè­ge prin­ci­pal de Green­peace à Ham­bourg avec une ban­niè­re de 16 m2, affich­ant la devi­se « Pour­quoi est-ce que l’association de Green­peace n’intervient-elle pas cont­re les muni­ti­ons et les bom­bes d’uranium, l’HAARP et les traî­nées chi­mi­ques ? — A Call For Action », ain­si que d’autres slo­gans, et ont récla­mé l’intervention de cet­te association.
Il sem­blerait que, sur les thè­mes ici abor­dés, l’ancien mot­to de Green­peace « Agir au lieu d’attendre » se soit trans­for­mé en « Attendre au lieu d’agir ». Green­peace se retran­che dans une posi­ti­on pas­si­ve en croyant aveugle­ment les insti­tu­ti­ons étati­ques et pri­vées et n’entreprend plus aucu­nes recher­ches de maniè­re auto­no­me sur les sujets incri­mi­nés. C’est ain­si, par exemp­le, que son bus équi­pé d’appareils pour mesurer le taux de pol­lu­ti­on de l’air a été ven­du. Pour­quoi ? N’y a‑t-il sou­da­i­ne­ment, plus de pol­lu­ants dans l’air? Ou alors ne vou­drait-on pas être embar­ras­sé en mesu­rant des sub­s­tances aut­res que la suie des moteurs die­sel et pol­lu­ants de la même espèce ?

Et Wer­ner Alt­ni­ckel d’argumenter que le mot « paix » dans le nom de Greenpeace a per­du sa légiti­mi­té et que celui-ci dev­rait être sup­p­ri­mé du nom de l’association, puis­que Green­peace n’a plus ent­re­pris depuis long­temps d’actions nota­bles cont­re les guer­res, par exemp­le cont­re cel­les menées par les trou­pes US-amé­ri­cai­nes et cel­les de l’OTAN, ent­re aut­res en Afgha­ni­stan, Irak et actu­el­le­ment en Libye. Les cen­tai­nes de mil­liers de vic­ti­mes civi­les et les immenses régions détrui­tes sem­blent ne plus jouer aucun rôle pour Greenpeace.

Le grou­pe d’Action autour de Wer­ner Alt­ni­ckel exi­ge que l’organisation de Green­peace pro­cè­de à des recher­ches indé­pen­dan­tes et qu’elle inter­vi­en­ne sans tabou sur les sujets suivants :

Les munitions d’uranium

Il est abso­lu­ment incom­pré­hen­si­ble que Green­peace pas­se sous silence cet­te inter­vention géno­ci­de de long ter­me, menée par des trou­pes US-amé­ri­cai­nes et de l’OTAN repré­sen­tant actu­el­le­ment de plus de 2.500 ton­nes de muni­ti­ons d’uranium (envi­ron un mil­li­on de pro­jec­ti­les). Les pous­siè­res d’uranium de nano­di­men­si­on ain­si disper­sées pro­vo­quent, en dehors d’une multi­tu­de de mala­dies, com­me par ex. le can­cer du pou­mon et la leu­cé­mie, les pires mal­for­ma­ti­ons chez les enfants des popu­la­ti­ons atta­quées et ray­on­nent des cen­tai­nes de mil­liers d’années (film recom­mandé à ce sujet : « Töd­li­cher Staub » (Pous­siè­re mor­tel­le) de Frie­der Wag­ner. Selon une étu­de bri­tan­ni­que, une par­tie des pous­siè­res d’uranium est char­riée par les tempêtes sur de for­tes distances, ent­re aut­res jusqu’en Gran­de Bre­ta­gne d’après un artic­le du Sun­day Times daté du 19.2.2006. Green­peace a éga­le­ment arrêté sa cam­pa­gne « Stop aux mers irra­diées ». Tou­te cri­tique adres­sée aux mili­taires sem­ble être abso­lu­ment deve­nue un tabou pour Greenpeace.

HAARP

Un aut­re sujet tabou de Green­peace con­cer­ne les sys­tè­mes d’armement électroma­gnétiques, com­me par exemp­le l’installation US-amé­ri­cai­ne de HAARP à Gako­na en Alas­ka, cont­re laquel­le l’Union Euro­pé­en­ne avait sug­gé­ré dès 1999 un règle­ment d’interdiction, qui fut mal­heu­reu­se­ment sans suc­cès. Le docu­ment de l’Union Euro­péenne « HAARP — Un sys­tème d’armement atten­ta­toire au cli­mat » a par exemp­le dit que la « mani­pu­la­ti­on des con­di­ti­ons météo­ro­lo­gi­ques glo­ba­les, les trous dans la iono­sphè­re et l’utilisation allant cont­re le droit inter­na­tio­nal selon le Cont­rat de l’Antarctique sont inac­cep­ta­bles. » Le Par­le­ment Euro­pé­en a cri­ti­qué le « dévelop­pement d’armes ser­vant à la mani­pu­la­ti­on du cer­ve­au humain et en de­mande son inter­dic­tion ». La Croix Rouge inter­na­tio­na­le avait aver­ti dès 1994 sur le potentiel de pré­ju­di­ces pour la san­té et des pos­si­bi­li­tés d’influences men­ta­les de cet­te installation.

En avril 1997, Wil­liam Cohen, Minist­re de la Défen­se des Etats-Unis d’Amérique, a tenu un dis­cours en Géor­gie lors d’une Con­fé­rence sur le ter­ro­ris­me dans lequel il a expo­sé que d’« aut­res [états] sont enga­gés dans une sor­te de ter­ro­ris­me éco­lo­gi­que en opé­rant des chan­ge­ments cli­ma­ti­ques, en pro­vo­quant des trem­blem­ents de terre et des érup­ti­ons vol­ca­ni­ques en uti­li­sant des ondes électromagnétiques. »

Le Dr. Rosa­lie Ber­tell, sci­en­ti­fi­que amé­ri­cai­ne recon­nue et réci­pi­en­d­ai­re du prix Nobel alter­na­tif, a nom­mé dans son liv­re « Planè­te terre – la plus récen­te arme de guer­re » tous les sys­tè­mes d’armement géo­phy­si­ques et les tests qui ont déjà été effec­tués. Elle a décla­ré que « les armes élec­tro­ma­gné­ti­ques ont la capa­ci­té d’envoyer des signaux pou­vant pro­vo­quer par exemp­le des trem­blem­ents de terre à des distances inter­con­ti­nen­ta­les sur n’importe quel­le cib­le ter­rest­re avec une force com­pa­ra­bles à cel­le de gros­ses explo­si­ons ato­mi­ques ». Elle a con­fir­mé que les sci­en­ti­fi­ques amé­ri­cains tra­vail­lent sur les sys­tè­mes météo­ro­lo­gi­ques en tant qu’armes poten­ti­el­les. « Les métho­des con­sis­tent en une poten­tia­li­sa­ti­on des tem­pêtes et au détour­ne­ment des cou­rants de vapeurs dans l’atmosphère afin de provo­quer des sécher­es­ses ou des inon­da­ti­ons ciblées. » Elle com­bat avec véhé­mence le recours aux guer­res envi­ron­ne­men­ta­les et nom­me expli­ci­te­ment ent­re aut­res, le déclen­che­ment de trem­blem­ents de terre com­me une arme de guer­re réel­le­ment utilisée.

L’India Dai­ly écri­vait en 2005 qu’un équi­pe­ment simi­lai­re serait en pos­ses­si­on de plu­s­ieurs aut­res pays, ce qui leur per­met­trait de mener des guer­res météo-tectoni­ques et aus­si que de plus en plus d’états en vien­drai­ent à détec­ter ce gen­re de ma­nipulations et à prend­re des contre-mesures.

 

Chem­trails / Geo­in­gé­nie­rie

 

Les épan­da­ges à gran­de échel­le de polymè­res et de pous­siè­res de métal ou de souf­fre par des avi­ons jouent éga­le­ment un rôle important dans les métho­des de mani­pu­la­ti­on météo­ro­lo­gi­ques mon­dia­les que l’on nom­me offi­ci­el­le­ment géoinge­nierie. Le «  Grou­pe inter­gou­ver­ne­men­tal sur l’évolution du cli­mat » (nom­mé GIEC, en ang­lais IPCC) favo­ri­sait déjà en 2001 les épan­da­ges de pous­siè­res de métal afin de reflé­ter les ray­ons du sol­eil vers l’espace, et annon­çait cepen­dant un « ciel blan­châtre » lors de l’exécution (GIEC 2001‑p.333–334).

Le Space Pre­ser­va­ti­on Act a été pré­sen­té au Con­grès amé­ri­cain en 2001 par Den­nis Kuci­n­ich, plu­s­ieurs fois can­di­dat à la pré­si­dence des démo­cra­tes amé­ri­cains, afin de pro­té­ger l’atmosphère ; il y nom­me ent­re aut­res aus­si les traî­nées chi­mi­ques, les sys­tè­mes d’armes tec­to­ni­ques et le « Mind Con­trol » (con­trô­le mental). 

Le 12 jan­vier 2011, Ted Gun­der­son, anci­en chef du FBI-Chef à Los Ange­les, prit po­sition sur la ques­ti­on des chem­trails et décla­ra ent­re autres :

« Les char­ge­ments mor­tels, éga­le­ment con­nus sous le nom de traî­nées chi­mi­ques, sont pul­vé­ri­sés à tra­vers les Etats-Unis, l’Angleterre, l’Écosse, l’Irlande et le Nord de l’Europe. Je les ai per­son­nel­le­ment vus non seu­le­ment aux Etats-Unis, mais aus­si au Mexi­que et au Cana­da. Les oise­aux meu­rent dans le mon­de entier. Les pois­sons meu­rent par cen­tai­nes de mil­liers à tra­vers le mon­de. C’est un géno­ci­de. C’est du poi­son. C’est un meurt­re cau­ti­onné par les Nati­ons Unies. Ce grou­pe, au sein de not­re socié­té, qui per­met et pro­duit cela, doit être arrêté. Je con­nais par hasard deux des end­roits où sont sta­ti­onnés les avi­ons qui déver­sent cet­te sal­ope­rie sur nous. Quat­re avi­ons sont de la Gar­de natio­na­le à Lin­coln au Nebras­ka. Les aut­res sont de Fort Still en Okla­ho­ma. J’ai moi-même obser­vé les avi­ons qui étai­ent tou­jours sta­tionnés au Nebras­ka – à Lin­coln au Nebras­ka – sur la base de l’armée de l’air de la Gar­de Natio­na­le. Ils n’ont pas été iden­ti­fiés. Ce sont des avi­ons énor­mes, ressem­blant à des bom­bar­diers, sans aucu­ne mar­que sur leur car­lin­gue. C’est un crime : un crime cont­re l’humanité, un crime cont­re l’Amérique et un crime cont­re les citoy­ens de ce grand pays. Il faut les empê­cher de con­tin­uer. Que se pas­se-t-il au Con­grès? Cela a une inci­dence sur leur popu­la­ti­on, leur peu­ple, leurs amis, leurs pro­ches et de tou­te évi­dence, sur les poli­ti­ci­ens eux-mêmes. Quel est leur pro­blè­me? Qu’en est-il des pilo­tes qui font voler ces avi­ons et qui déver­sent cet­te sale­té, ce poi­son sur leurs pro­pres famil­les. Il faut que quelqu’un entre­pren­ne quel­que cho­se. Un membre du Con­grès doit se lever et mett­re main­ten­ant un ter­me à cela. Je vous remer­cie. Je suis Ted Gun­der­son (Source: http//tedgunderson.net)
Dr. Rosa­lie Ber­tell, sci­en­ti­fi­que amé­ri­cai­ne recon­nue et réci­pi­en­d­ai­re du prix Nobel alter­na­tif, que nous avons déjà citée plus haut, a décla­ré le 3 mai 2005 au sujet des chem­trails : « Je pen­se que les traî­nées chi­mi­ques sont éga­le­ment un sup­port pour tous les gen­res de guer­res bio­lo­gi­ques et chimiques. »

Greenpeace fait cependant la sourde oreille

Quand Wer­ner Alt­ni­ckel a abor­dé les sujets rela­tifs aux « chem­trails » et au pro­jet « HAARP » au siè­ge de Green­peace et remis de nombreux docu­ments pour que des recher­ches soi­ent pour­suivies, on le con­gé­dia en 2005, en invo­quant que « Ces sujets ne peu­vent être com­pa­ti­bles avec les objec­tifs de Green­peace. » Il est incon­ce­va­ble qu’une orga­ni­sa­ti­on mon­dia­le com­me Green­peace se tai­se sur tous ces sujets qui sont une men­ace pesan­te non seu­le­ment sur les êtres humains, mais aus­si sur la tota­li­té de l’environnement de cet­te planè­te. Wer­ner Alt­ni­ckel pos­sè­dent de nombreu­ses d’informations sur tous ces thè­mes et pour­rait enco­re four­nir de plus amp­les renseignements.

 

Après l’Action menée devant le siè­ge prin­ci­pal de Green­peace, une dis­cus­sion de deux heu­res eut lieu sur les sujets pré­cé­dem­ment cités ent­re deux respons­ables de Green­peace, W. Alt­ni­ckel et 20 mem­bres de l’Initiative citoy­enne « Pour un ciel propre ».

 

Infor­ma­ti­ons, pho­tos et vidé­os sup­p­lé­men­tai­res sur l’Action et expo­sés sur les sujets abor­dés à l’adresse sui­van­te : www.chemtrail.de (You­Tube – Bou­ton sur le site.)

 

 

Olden­burg, le 7 octobre 2011

 

Wer­ner Altnickel

Wilh. Kempinstr.55

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